C’est à ce premier vers du poème de Rimbaud, Le dormeur du val, auquel j’ai pensé devant la beauté et la musique de cette petite cascade éclairée par un trou de lumière.
Poème
que le sort avait déjà choisi de m’offrir, il y a bien longtemps, dans une
épreuve du bac.
Poème qui, comme celui de Victor Hugo, Demain, dès l’aube, chante si bien la Nature éternelle face à la briéveté de la vie des hommes, surtout quand ils meurent jeunes.
Et
l’eau qui coule toujours à cet endroit chantera longtemps l’inoubliable talent des
grands poètes.
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