Aujourd’hui, nous allons aller faire un tour bien loin de notre vallée du Sant mais dans un endroit également très cher à mon cœur.
C’était
il y a presque 40 ans, je travaillais et étudiais à Paris. Comme des millions
de gens, j’aimais aller flâner sur les quais de la Seine, fouiller dans les
bacs des bouquinistes, regarder couler la Seine, admirer la façade de la
Cathédrale Notre-Dame, les tours, aller voir ses arcs-boutants, merveilles d’architecture
qui assurent la solidité de l’édifice, rentrer remplir mes yeux du kaléidoscope
de ses vitraux, écouter son orgue…
Ce
qui s’est passé le 15 avril, la catastrophe totale qui a été heureusement évitée,
nous démontre que rien n’est jamais acquis, et qu’il faut protéger notre
patrimoine culturel et naturel. En ces temps où de nombreuses voix s’élèvent
pour réclamer des droits, il ne faudrait pas oublier que c’est là aussi un
devoir que nous avons envers nos ancêtres qui nous ont légué ces chefs-d’œuvre au
prix de leur sueur et parfois de leur sang, c’est encore un devoir que nous
avons envers les générations futures, qui ont droit à pouvoir un jour aussi l’aimer.
Today, let’s go very far from our creek Sant valley, but in another
place I love very much too.
Forty years ago I was working and studying in Paris. I liked passing by
the river Seine, finding second hand books in the Bouquinists boxes, admiring
Notre Dame, its towers, elegant flying buttresses, and colorful stained glasses…
This horrible fire on April 15 reminds us that we have a duty against
the next generations who have the right to enjoing these masterpieces one day
as we have been given the chance to enjoy them by our ancestors who made them with
their swet and even sometimes with their blood.
The same is valid for the
Natural inheritage we are not taking care properly.
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